Anki, Jibo et Kuri, vous avez peut-être entendu parler de ces trois sociétés de robotique et de leurs adorables petits robots sociaux. Vous avez peut-être même pensé que la technologie semblait assez étonnante. Mais, les chances sont très bonnes que vous n’ayez jamais possédé un robot fabriqué par ces entreprises.
En effet, le marché ne s’est tout simplement pas matérialisé pour les robots domestiques à caractère social, du moins pas encore. Dans un monde de haut-parleurs intelligents bon marché, les robots qui ont plus de personnalité que Alexa mais pas beaucoup plus en termes de fonctionnalité ne semblent pas avoir leur place. Les trois entreprises, autrefois louées par les rédacteurs techniques, ont échoué.
Pourquoi un tel échec ?
L’une des raisons pour lesquelles nous pensons que d’autres robots sociaux ont échoué est qu’ils ont été trop promis et sous-livrés. Les robots en général sont l’un des produits les plus difficiles à construire. Du matériel, des micrologiciels, des logiciels, de la fabrication à des algorithmes d’apprentissage automatique de haut niveau, en passant par des interactions, il s’agit d’une pile extrêmement vaste comportant des défis techniques pour chaque composant.
Voici quelques exemples de robot social :
À cause de cela, nous avons vu d’autres sociétés avoir des délais de livraison extrêmement longs et, dans l’intervalle, d’autres systèmes intelligents ont pris leur place chez les gens, comme des assistants virtuels, pour en nommer un.
Qu’est ce qui les différencie ?
Ce qui distingue Kiki, c’est que Kiki est un robot qui vit vraiment avec nous. Cela signifie qu’elle reçoit des informations du monde réel, utilise l’apprentissage automatique pour comprendre ces informations et pour construire une compréhension intelligente du monde.
Un exemple simple de cela est quand Kiki vous regarde dans les yeux et quand vous la regardez dans les yeux. A ce moment, vous aurez l’impression que ce robot vous regarde directement. Kiki va vous chercher dans une pièce et partager un regard avec vous.