De nos jours, on ne voit les compétences des start-ups que suivant les technologies qu’ils développent. Pourtant, ces outils développés viennent de la compétence d’une équipe et de chaque personne qui ont collaboré dans le travail. D’après Antoine Colboc, partner chez Boyden France, la performance d’une start-up est en fonction de la capacité du leader à trouver la bonne ressource humaine.
Le bon leader qui a une bonne compétence en management
Pour les start-ups, un leader doit aussi avoir l’étoffe d’un manager. Ce qui le différencie d’une autre entité. En effet, selon Antoine Colboc qui a effectué une étude sur le sujet, les leaders d’une start-ups ont acquis des compétences managériales issues de leurs expériences opérationnelles. Dans ce cadre, les dirigeants d’une start-up ont plus de capacité à manager qui fait développer une maîtrise du leadership avec le temps. Ce qui n’est pas le cas au sein des grands groupes qui ont des managers qui n’arrivent pas à devenir de vrai leader.
Dimension du leadership
Selon Antoine Colboc, pour qu’une start-up soit performante et ait du succès dans son domaine, le dirigeant devra développer 3 esprits de leader. Il devra ainsi, être très intuitif, agile et à la fois, ambitieux. D’un autre côté, il devra également afficher un caractère pédagogue, ludique en étant collectif et communicateur. Mais il faut également que le dirigeant soit un véritable battant. Il ne laisse jamais tomber et s’efforce de toujours trouver des solutions. Néanmoins, avec la croissance de l’activité, ces critères ne sont pas remplis pour devenir un bon dirigeant de start-up. Il faut toujours s’activer et entreprendre toutes les tâches convenablement. Il est nécessaire de choisir des responsabilités sans commettre une erreur. Ce qui demande, une identification de ces dernières, et un apprentissage. Enfin, un bon leader sait aussi identifier les ressources humaines les plus compétentes pour son activité. Et s’il le faut, il est même nécessaire de se séparer des maillons faibles.